D’un coté l’abondance, de l’autre la rareté.
Ce monde clive de plus en plus que les années avancent.
Deux situations tirées de deux constats m’amènent à écrire ce billet du jour.
La première, la souffrance et la famine, dans de nombreux pays sont absolument intolérable.
Des enfants qui n’ont rien à manger, qui vivent dans des taudis et dont l’avenir est plus qu’incertain.
Donner un avenir meilleur à ces enfants serait donc légitime.
Or les adoptions par des couples français chutent.
1500 enfants sont adoptés pour 25000 demandes d’agrément chaque année.
60% de moins qu’en 2005.
La coopération internationale doit être entreprise avec plus d’entrain que lors de ces dernières années.
C’est la première requête que je ferai à mes amis politiques du gouvernement Ayrault.
La deuxième requête que je leur ferai concerne la surabondance pire le gavage d’êtres humains par des produits intolérables qu’ils soient considérés comme alimentaire.
En effet, 15% de la population française est touchée par l’obésité.
Plus de 6,9 millions de personnes.
3,3 millions de plus qu’en 1997.
35% des 18-24 ans.
Il est maintenant grand temps de s’attaquer à ce problème de santé publique.
Et de combattre l’alimentation industrielle.
Car la qualité alimentaire ne doit avoir que faire du compte en banque des consommateurs.
Bien à vous,
Fabrice
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