Les ambitions premières de l’Europe c’étaient de réunir les gens qui ont envie de travailler pour elle afin de ne plus revivre les atrocités de la seconde guerre mondiale.
Ses précurseurs rêvaient d’autre chose pour les nations du Vieux Continent.
Et certainement pas ce que celui-ci vit actuellement.
A moins d’une semaine du scrutin, une nouvelle vague populiste est annoncée.
Les eurosceptiques progressent.
Une vague de colère dans laquelle les socialistes doivent se montrer responsables.
Une politique de rigueur budgétaire n’est pas contradictoire avec une politique sociale.
Depuis début avril, les mécontents montent au créneau pour dire leur refus d’un plan d’économies de 50 milliards.
Et personne n’assume véritablement ce plan d’économies.
La fracture du gouvernement avec le peuple se fait jour de plus en plus grande.
Je reste profondément à gauche avec le moral, beaucoup d’envie et d’énergie, mais j’ai aussi le sens des réalités…
Et je ne comprends pas la ligne politique retenue par ce Parti au niveau national et au niveau européen.
Amitié,
Fabrice Frichet
Jacky
21 mai, 2014 à 9:31 :43
Je sais pas toujours pour qui voter.
1ere fois que ca m’arrive.
Cette campagne m’en…
Zab'
19 mai, 2014 à 9:17 :37
Fabrice
Bonnet blanc.
Blanc bonnet.
Je choisirrai l’abstention.
Heureux de ton écrit politique car il es rare de voir une personne » soit disant morte politiquement » dixit l’équipe adverse prendre de la hauteur comme toi.
Je suis a fond avec toi