
Ce 5éme livre, mais 1er roman, est dès à présent terminé.
Son écriture n’a pas été évidente pour moi.
C’était un peu l’inconnu.
En l’écrivant, je voulais démontrer.
Me démontrer, une chose, plusieurs peut-être aussi. Celle que je savais écrire autre chose que de la politique.
Et tout au long de cette écriture, je me suis remémoré une rencontre.
Car si j’ai rencontré des personnes très connus dont la plupart sont aujourd’hui au gouvernement. La plus belle est au-delà de la vie politique. Elle la dépasse.
La plus belle c’est celle avec un comédien césarisé en 1988 pour « Le Grand Chemin ».
De lui on connaît sa vie d’écorché vif, ses talents poétiques, ses excès multiples, ses coups de gueule médiatiques aussi…
Tout au long de cette écriture, j’ai gardé à l’esprit ce que Richard Bohringer m’avait dit, lors du salon littéraire des Mots Doubs en 2012 à Besançon.
Je dédicaçais au public venu nombreux mon 3éme livre « Rage, ô désespoir ! ».
Il dédicaçait ses livres « C’est beau une ville la nuit » et encore « L’ultime conviction du désir » et lui demandant le fond de ses livres. Il me répondit avec passion sa vie. Et il termina nos quelques minutes passées ensemble par : « c’est la vie quoi ! »
J’ai eu cet immense privilège de pouvoir voir et entendre Richard Bohringer s’exprimer au sujet de l’écriture, son écriture. Et reconnaitre par ses quelques mots la difficulté de certains jours avec le corps.
Une très belle rencontre qui m’a donné envie plus tard, maintenant, d’écrire ce roman.
Ses quelques mots, que j’ai entendus, parcourent dans ce 5éme livre à lire. Je vous tiendrai informer de la date de sortie de celui-ci.
Que c’est beau le travail des mots et l’émotion couchée sur papier !
Fabrice Frichet
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.